CE QU’IL RESTE
à la maison, comme dernier refuge, le flottement d’une solitude, à revivre, son déferlement, avoir pensé le dehors, n’être pas sorti pour le voir, toujours dedans, le flottement d’une solitude, l’esprit, à la maison, le corps, exilé dans des retrouvailles, une confrontation, la distance du refuge, à vivre, la confidence, le rapprochement des solitudes, un même, accordé au sentiment, l’étreinte comme premier refuge, à revivre, l’évitement, pensé dedans, le souvenir qui efface la défiance du face à face, l’aveuglement d’une solitude, à la maison, se souvenir, de ce qu’il reste, à vivre, la préposition manquante, en avance, sur la mort, l’écriture d’une attente, là-bas comme premier refuge, chercher, maintenant, l’emprise invisible, ce qui ne cherche pas l’offrande, trouver son œil, en dépossession, là-bas comme fiction, méditer, un paysage, au moment où, la surprise d’un étant, l’acuité d’une solitude, à la maison, se souvenir, de ce qu’il reste, à mourir, la préposition du manque, en avance, sur la vie, l’attente d’une écriture, là-bas comme énième refuge, trouver, maintenant, la prise invisible, ce qui ne prend pas l’offrande, chercher son œil, en dépossession, là-bas comme réel, dépayser, sa méditation, au moment où, l’étant d’une surprise, la solitude d’une acuité, à la maison, se souvenir, de ce qu’il reste.