Pénétrer
l’indicible des cascades sous la capuche
Des
yeux qui perlent à contre courant la tristesse
Se
fait relâcher les muscles de la mâchoire
Créer
son désespoir de la capuche que l’étouffé
De
la cascade que la bruine du temps il est
Le
dernier le possible encadré de la capuche
Ne
plus voir les yeux seule la cascade
Paupières
paralysées laisser couler dans la
Bouche
le goût salé des froideurs
■
Chercher
dans la mer amorcer
Les
dérives fuir le courant
Se
servir de sa main comme pagaie
Remonter
les abers
Jusqu’aux
plages
■
Il
est 19h09 l’heure de
L’écran
les rayures sur la
Glace
n’empêchent pas les gestes
Désemparés
il faut se ressaisir
Imprimer
la nuit
■
Sur
les ponts se rassemblent
Les
ombres des scarabées sous
Les
pattes tintinnabulent
Les
échardes plantées de grelots
Appellent
les sourires des passants
■
C’est
la panne l’ambiance du quartier sous
Les
rosiers en fleurs ne descendent pas suffisamment
Les
restes d’empreintes font le lien pourquoi palabrer
Quand
les nuages ombragent la cour mieux
Toujours
mieux à faire lancer une ligne précipiter
Les
filets dans l’eau de la rivière attendre jusqu’à
L’autre
attente
■
Ne
pas le faire tomber ne pas regretter le geste
Parcourir
les falaises jusqu’à plus terre
Irriguer
dans son urine les marées laisser
L’eau
monter ne plus rien juste la bulle
….L’ultime délivrance
THIERRY